lundi 8 janvier 2018
vendredi 29 septembre 2017
Un nouveau rhino à l'INSA !
DESSINE ET RÉALISE PAR LES ETUDIANTS DE L'OPTION
"ART PLASTIQUE ETUDE"
Encadrés par Emmanuel CARTILLIER et Jérôme MOREAU
en partenariat avec la fonderie VINCENT
samedi 23 septembre 2017
LE PROGRÈS
Villeubanne
24/09/2017
Le rhinocéros de l'Insa a retrouvé sa corne
(plus courte que l'originale pour des raisons de sécurité)
(plus courte que l'originale pour des raisons de sécurité)
Il est animal totem et le mystère lui est familier… Son créateur,
le plasticien Jean-Marc Bonnard, celui qui lui a donné force et présence
sur le campus de la Doua en 2003, mais également des étudiants de la
section “arts plastiques études” se préparent à lui rendre sa belle
corne originelle, ce vendredi 22 septembre. Date où il est rappelé dans
le monde entier ce que subissent ses frères, qui ne sont pas comme lui
en fonte. L’événement est d’importance, il s’inscrit dans le cadre de
l’anniversaire des 60 ans de l’Insa et ce rhinocéros-là est part
intégrante de la vie des étudiants. Mais ce vendredi n’est pas un jour
semblable à tous les autres. Le rhinocéros, emblème de la section “arts
plastiques études”, immobile sous un voile de tissu léger, laisse juste
apparaître ses pattes blanches. Autour de lui, il y a de plus en plus de
monde, des étudiants, venus de tout le campus, des enseignants, des
chercheurs et même le directeur de l’Insa, Éric Maurincomme. Le voile
soulevé par Jean-Marc Bonnard révèle enfin, sous les applaudissements,
la nouvelle corne de la mascotte de l’Insa.
Jean Marc Bonnard "Rappelons qu'il est une œuvre commune, une belle aventure, entre Jacques BARRY, Hervé AUDOUARD et moi même."
Jean-Marc Bonnard, le plasticien, au micro : «les étudiants de l’Insa se
sont appropriés ce rhinocéros, il vit, il change de robe, bien sûr que
le vandale qui lui avait cassé la corne, c’est irrespectueux pour une
oeuvre d’art. On l’a retrouvée d’ailleurs sa corne et je me suis battu
pour qu’on la lui remette». Photo Sylviane Sarah Oling
Véronique Bertrand responsable service audiovisuel , devant la mascotte
encore masquée: "Pour moi, il est un repère, je le vois tous les matins,
c'est notre symbole, il change de couleur au gré du bon vouloir des
élèves". Photo Sylviane Sarah OLING
mardi 19 septembre 2017
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